Les jeunes filles de 2018 débarquent dans un drôle de monde. Certaines en rient, d’autres le contournent ou s’y frottent. Alice on the roof ne choisit pas : Ce monde, elle l’observe, assise sur le bord d’un petit toit imaginaire et brinquebalant. Pour en faire des chansons. Des chansons à son image, tantôt légères et moqueuses, tantôt oniriques ou mélancoliques.
En préambule de son nouvel album, Alice on the roof a trusté les ondes radio au printemps avec « Malade » hymne pop autobiographique entêtant écrit à quatre mains avec Vianney. Une chanson écrit par Alice en français comme la moitie de son nouvel album. Un album où s’entrechoquent refrains lumineux et balades crépusculaires, un album aussi fou que l’imagination d’Alice.
Un album patiemment conçu entoure de talents aussi éclectiques que les rêves d’Alice : Vianney, Matthew Irons, l’anglais Fyfe ou le producteur Angelo Foley (De Pretto, Christine And The Queens), Rob Moose (arrangeur pour Bon Iver et Perfume Genius) et même Arno pour un duo aussi improbable que bouleversant.
Dans la foulée de son nouvel album, Alice donnera son premier show au Forest National le 6 décembre 2018. Un show inédit conçu comme une comédie musicale un peu barrée ou un conte pour enfants pas trop sages.
Alice n’est pas prête à descendre du toit. Alors on grimpe